Notre chambre

Modile ne pouvait s'empecher de pleurer, elle se recroquevilla du mieu qu'elle put, elle aurait préféré mourir que de vivre cela, non, elle ne pourait jamais accepter qu'on lui reprenne ce cadeau donné, aussi sera t-elle tres fort la main de Namour et lui demanda dans un soufle:

Viens tout contre moi Namour, j'ai si froid en moi.

Et en voyant les yeux de Namour, elle avait compris qu'il savait, et cela lui fit encore plus mal, de penser que son reve à lui s'envolait.

A la demande de Modile, Totoriflette s'allongea, il passa la main sous ses épaules, et la fit tourner vers lui, et referma son bras sur elle, il ne pouvait parler tellement sa gorge était serrée. Aussi lui caressa t(il les cheveux, et de l'autre main la joue. Il essaye d'avoir une voix normale et non tremblante, et lui dit :

Dors mon amour, dors, tout va bien se passé

Et il resta ainsi sans bouger, à pleurer en silence.

Au travers de ses larmes, elle lui dit encore:

Pardonnes moi Namour, pardonnes moi

Puis, parti s'evader dans des reves incensés.

Quand Modile se reveilla, elle se sentait beaucoup mieu, la paleur de ses joues avait disparue, seul le chagin subsistait mais très vite elle s'apperçu que Namour était resté à ses côtés à la regarder (chose qu'elle n'aimait pas vraiment d'ailleurs), elle le regarda alors, lui fit un grand sourire et lui dit:

Namour, depuis quand me regardes tu ainsi? Ne devrais tu pas aller à la boulangerie plutôt que de regarder un tableau défraichi ?

Elle s'accouda alors, lui caressa ses douces lèvres souriantes, y déposa un petit baiser, puis lui chuchota au creux de l'oreille:

Je t'adore toi, et maintenant, il serait grand temps pour nous deux de sortir travailler un peu.

Elle se leva, se dirigea vers la grande pièce afin de se préparer pour une nouvelle journée, Namour la suivant de près.

Totoriflette ouvrit les yeux, il était déjà tard, mais quelle nuit merveilleuse, il avait passé là. Il regarda Modile, s'approcha doucement d'elle, lui déposa un baiser sur les lèvres, et lui dit :

Oh mon amour, comme je t'adore,

Il la regarda à nouveau,; lui souriant, vivant encore dans sa tête ses instant et au lieu de se lever, il resta là, et lentement la reveilla par des caresses, et l'emmena dans une nouvelle danse.

De toutes les danses, c'était bien celle ci qu'elle préférait, aussi eut elle beaucoup de mal à devoir se lever, cependant qu'ils devaient tous deux aller oeuvrer a leur labeur. Elle lui murmura cependant au creux de l'oreille, en souriant:

Je t'adore , toi

Puis se décida t-elle à se lever.

Sur le matin Totoriflette se reveilla, ouvrit les yeux, et vit Modile allongée dormant d'un sommeil profond, il la regarda. Il se sentait mieux ce matin, seul les douleurs dans la poitrine persistaient.

Il cassera du bout des doigts la joue de Modile, il cru voir un sourire se déssiner alors, et lui déposa un baiser. Et s'approchant de son oreille, lui murmura :

Bonjour toi que j'adore,

Puis il resta allongé, Modile blottie dans ses bras.

modile se reveilla tard, ausi quand elle vit que Namour etait encore à ses cotes, elle eut peur un instant, et s'en voulu d'avoir cédé à la fatigue.
Elle le regarda, lui trouva meilleur mine, cependant qu sa respiration semblait difficile, elle lui murmura alors:

Comment vas tu ce matin Namour ?