Notre chambre

Modile revint avec la bougie, sa mine défaite par la peur qui l'habitait, elle vit de suite que le lit etait vide, et jeta alors, un oeil sur le reste de la pièce.
Fronçant les sourcils et respirant plus vite à la vue du fauteuil, elle s'avança timidement en priant de toutes ces forces pour que ce qu'elle croyait voir, soit bien Totoriflette.

Arrivée à sa hauteur elle soupira d'aise puis se mit a genoux, lui prit la main et lui murmura :


Namour, que fais tu la ? tu m'as fait si peur, allez viens dans le lit, tu seras mieu pour te reposser.


Elle l'aida à se lever, puis l'aida à marcher,et enfin le mit au lit. Elle repossa sur lui la couverture, et vint se lover à ses côtés .
Elle le regarda un long moment, il semblait vraiment mal, elle eut honte de ce qu'elle avait fait , puis lui dessina les lèvres, lui posa un baiser avant de lui chuchoter :

Dors Namour, reposses toi je suis là, je t'adore, et pardonnes moi, te t'avoir mis dans cet état, et de t'avoir laissé rentré seul, je m'en veux.

Elle souffla la bougie, se cala contre son épaule, posa son bras sur son torse, puis ferma les yeux pour une nouvelle nuit.

Modile ,les cheveux en bataille, commença par s'etirer avant d'ouvrir les yeux. Elle se tourna vers Totoriflette qui dormait encore, aussi se leva t'elle bien vite afin d'y préparer le petit déjeuner.

Trop vite, elle voulut se précipiter, sa tête tourna un instant , et elle dut se rasseoir au bord du lit, son ventre avait l'air egalement bien chamboulé.

Vivement que cela cesse pensa t-elle , en possant sa main sur son ventre.

Elle se retourna encore un moment vers Totoriflette, et apperçut un objet sur le lit, elle tatonna de sa main afin de savoir ce que c'etait, puis se demanda bien ce que cela faisait là.

Aussitôt elle comprit que Totoriflette avait fait l'infernal, mais elle en ignora la raison, cependant elle se ralongea à ses côtés afin de lui voler un baiser.

Totoriflette ouvrit les yeux au contact des lèvres de Modile, alors il souriat, en la regardant :

Bonjour amour, as tu bien dormie ?

Puis il regarda la bourse, et lui dit, :

Pour toi mon amour, pour notre anniversaire

Puis sans la laisser répondre ou pester de son infernabilité, il l'a prit dasns es bras, et l'embrassa très amoureusement

Aux paroles de Totoriflette, Modile se mordit les lèvres, elle s'en voulait de toujours oublier cette date, et n'avait donc, rien à lui offrir.
Elle n'en dit rien cependant connaissant la réponse qu'il lui ferrait, mais cela la contraria enormément.

Elle lui rendit son baiser amoureux, et après lui avoir déssiné les lèvres, elle lui répondit :

Très bien dormie, oui, j'espere que toi egalement.., et.., Namour.., il serrait temps que tu cesses de faire l'infernal, non ?, mais je te remercie , c'est vraiment très jolie.
Maintenant, tu ne bouges plus, je vais te préparer le petit déjeuner, je n'ai malheureusement, rien d'autre à t'offrir..



Elle fit une petite moue à ces mots, puis ressourit en le regardant. Enfin lentement, elle sortit du lit et se dirigea vers la grande pièce.

Modile et Totoriflette, après s'être échangés quelques baisers dans la salle d'eau, se rendirent dans la chambre, main dans la main.

Ils glissèrent sous les couchages s'enlaçant l'un contre l'autre, c'est alors que Tototiflette lui murmura

Amour, si tu entends des bruits cette nuit, ce sera Minlawa, alors ne t'inquiètes pas

Il souriat en disant cela, et ajouta, je t'adore amour, fais de beaux rèves

Puis ils s'endormirent ainsi, dans les bras l'un de l'autre

Entendant un craquement du plancher, Totoriflette ouvrit un oeil, il vit Modile qui passait la porte et lui dit :

Coucou Amour, tu te lèves déjà ?

Il espérait qu'elle revienne, et s'appuya la tete sur son coude

Constatant que Modile ne l'avait point entendu, alors il se leva, le aps héistant les cheveux en tout sens. Il se rendit à la salle d'eau, regarda la basine, et y pongeat la tête dedans, en se disant, vivement que nous réaménagions cette endroit.

Il se mit à tousser, quelque chose lui irritait la gorge, il ne comprit pas et se dit : Suprenant :

Puis il se rendit dans la grande salle