le jardin

Nounou avait décidé de sortir les enfants dans le jardin, mais ne voulait pas trop s'éloigner de la maison, car Crsitofle commençait à peser son petit poids meme dans l'échape hamac aussi alla elle les emmener dans le jardin derrière la maison.



Elle avait prit avec la peau de mouton, et posa les enfants dessus et s'asseya sur le banc, en les regardant

Alors les ptiots, l'et'y pas ben là !

Les enfants regardaient autours d'eux, découvrant cet endroit, on attendait chanter les oiseaux dans les arbres, et suisseler l'eau dans la rivière, l'enrdoit était reposant, les deux petits s'endormirent bercer par les bruits extérieurs

L'herbe humide de rosée trempa les chausses de Modile qui venait de serrer un peu plus son chale sur ses épaules, il faisait frais encore ce matin là.
Modile vint se placer derriere Totoriflette, puis passa ses bras le long de son torse, il lui paraissait si perdu, seul et abandonné. Elle l'embrassa dans le cou, puis posa sa joue sur sa tete.

Bonjour toi, deja debout et dehors de si bon matin .
Tu vas finir par prendre froid pour de bon, tu n'es deja pas au mieu de ta forme, il faudrait que tu stoppes un peu ton infernalité non?

Totoriflette était dans ses pensées dans Modile vint le rejoindre, sa présence lui apporta un peu de réconfort, mais il se sentait si mal.

Bonjour toi.
Ne t'inquiètes pas je n'ai pas froid, j'avais juste besoin de prendre l'air, et je ne voulais pas faire de bruit dans la maison et risquer de vous réveiller toi et les enfants.

Il ne savait plus que faire, la présence de Modile lui apportait tant, mais il savait qu'elle n'était pas vraiment là, il aurait aimé pleurer, crier, mais préférait s'enfermer dans un mutisme, disant seulement que tout allait bien

Modile glissa alors sur son côté ,regarda Totoriflette avec un grand sourire.

Me preterai tu tes genoux pour que je m'y assois ?

Totoriflette regarda Modile lui sourire, et se glisser à ses côtés, il ne pu repondre qu'une chose,

Ils ont toujours été à toi depuis que l'on se connait, alors si tu en as envie, viens t'y asseoir, oui.

Il sentait sa gorge se nouer, mais ne montra rien, esquissant un sourire à Modile

Modile s'asseya alors sur les genoux de Totoriflette puis passa ses bras autour de son cou, le regarda dans les yeux, puis s'approcha timidement afin de l'embrasser tendrement.

Dis moi Namour, veux tu sortir cette apres midi, ou rester à la maison ? Et je voulais egalement te demander, j'aurais besoin de lutins pour mon champs, serais tu d'accord ?

Totoriflette lui passa les bras autour de la taille, la regardant dans les yeux, et lui rendit son baiser timidement.

Si cela ne t'ennuie pas, je préfère rester encore ici, un peu, j'irai au village dans la soirée, mais tu peux y aller, cela ne me dérange pas d'être seul.

Il posa alors sa tête contre son épaule, essayant de cacher sa tristesse, puis lui dit

Je veux bien pour les lutins, mais ne voulais tu pas faire profiter des vagabonds,

Il se blottit tout contre elle, tel un enfant perdu

Et toi amour, acceptes tu aussi de venir ?

La journée fut rythmée par les biberons des enfants, les moments de jeux dans le jardin avec eux , et leurs siestes.
Modile avait prevenue Totoriflette qu'elle serait enchantée d'aller ce soir avec lui au village, et lui avait également avoué qu'elle préférait que ce soit lui qui travaille dans son champs .
La fin de la journée arrivait tout doucement quand elle commença à frissonner, elle se pencha vers Totoriflette, l'embrassa amoureusement puis lui dit.

Namour, je vais rentrer à présent, je n'ai plus tres chaud, veux tu venir avec moi ou restes tu encore ici un moment ?

Leur journée avait passé ainsi, de bons moments certes mais, que de doute, que de peur, quel avenir, certainement aucun, la peur gagnait chaque instant Totoriflette, aussi quand Modile proposa de rentrer, il lui répondit

Oui, je veux bien, je vais aller faire un tour au village

Aussi se leva t'il