Notre chambre

Totoriflette regarda Modile revenir avec le verre de lait et le pain, il eut un grand sourire, aussi une fois ceci posé sur la petite table, il l'attrappa par la main, et l'a fît tomber sur le lit en l'enlaçant très amoureusement, lui souriant, l'embrassant, et lui murmurant, tu sais toi je t'adore, et pour la promenade dans le parc c'est une bonne idée, mais pour l'heure, amour, j'ai bien d'autres idées ...

puis il l'emmena dans une de leur danse très amoureuse

Modile et Totoriflette rentrèrent à la maison, après avoir passer la soirée en partie au bal de printemps.

Modile était de plus en plus fatiguée, cela inquietait Totoriflette ne sachant si cela était normal.

Aussi après être passés tous deux à la salle d'eau ou Modile s'était amusée à retirer les brindilles des cheveux de Totoriflette ils allèrent se coucher, se blottisant dans les bras l'un de l'autre. Totoriflette murmura alors à Modile :

Amour, Langue va bien, il est très fatigué, il s'est trompé de chemin, mais ça va, il continu son chemin Mais nous en parlerons plus longuement demain, il se fait tard et tu es épuisée, dors bien mon amour

Ausssi souffla t'il la bougie, s'embrassèrent t'il, et s'endormirent 'ils dnas les bras l'un de l'autre.

Totoriflette ouvrit les yeux, et vit Modile là assise sur le bord, en train de le regarder, aussi se redressa t'il rapidement, et s'approcha d'elle pour l'enlacer,

Bonjour toi, désolé, j'étais un peu fatigué aussi j'ai préfèré m'allonger, le fauteuil étant prit

dit 'il en souriant

tu vas bien toi, tu as passé une bonne journée?

puis n'attendant pas sa réponse, il l'embrassa tendrement

Modile lui rendit un baiser passionné, puis lui sourit en disant :

ça va oui, mais toi, comment te sens tu ? il est rare de te voir ainsi dans le lit, tu me fait peur .

Elle fronça les sourcils, puis le regarda longuement dans les yeux

Il la regarda dans les yeux ne cillant pas et lui dit

ça va, juste un coup de fatique, ne t'inquiètes pas, je vais bien,

Il lui souriat, regardant son ventre, et ajouta,
et l'infernal ou les infernaux se sont ils bien tenus ce jour ?

Il la serra doucement dans ses bras, posant la tête sur son épaule, se sentant en sécurité

Puis lui dit, tu veux que nous allions voir si nous voyons si Ange et Venussia vont mieux, en tant que Marraine et Parrain, tu as raison, cela est notre devoir

Ne croyant pas ses paroles, elle baissa la tête avant de lui repondre :

L'infernal se porte bien je pense, quelques coups ici et là mais tout va, et oui, tu as raison il nous faut voir Ange et Venus.

Ils sortirent donc et prirent la direction de la taverne la plus proche, esperant pouvoir y voir au travers des fenetres.

Totoriflette entra dans la chambre, cela lui fit mal, il savait que plus jamais avant bien longtemps il ne reviendrai ici, ce ne serait plus sa chambre, cela deviendrait celle de Modile et des enfants lui irait dans le bureau.

Aussi déposa t'il le premier berceau



Puis le second



Puis il retourna se saouler en taverne afin d'oublier les dernières paroles de Modile

Modile entra de nouveau dans la chambre, et comme toujours Totoriflette avait tout prévu, en si peu de temps , il avait de nouveau prouvé qu'il savait faire l'infernal.

Elle posa Cristofle dans le petit lit, puis commença la tété de Léonie, cela lui semblait si iréel d'etre là seule, autant l'etre ailleurs, en d'autres lieux , pensa t'elle.
Léonie s'en donnait à coeur joie,et quand enfin, elle fut repue, Modile la posa sur le lit, et partie chercher Cristofle qui commençait serieusement à s'egosiller.

Elle revint vers Léonie, la calla du mieu qu'elle pu contre elle avec l'aide des oreillers, puis s'ocupa de Cristofle qui ne cessait de chercher le sein.

Il lui fallu beaucoup de temps, pour que ce petit monde soit rassasié, et changé, puis completement a bout de force, elle les recoucha, pour qu'en fin elle même puisse en faire autant.
Elle s'endormit sans trop de mal tant la fatigue la tenaillait, avec juste une pensée en tête :

Jolie famille que voilà

Totoriflette la trouvait très belle, la lumière de la lune éclairait son visage, il mourrait d'envie de se glisser sous les couchages et de la prendre dans ses bras, mais sa douleur était encore si grande, ce froid en lui si présent qu'il préféra la laisser. Aussi c'est le coeur encore plus lourd qu'il sortit, il l'aimait tant cela elle ne le savait pas, jamais il n'avait fait pour une autre ce qu'il avait ces derniers jours fait pour elle. Son honneur il l'avait oublié, aucune fierté il n'avait, la seule chose qu'il savait c'est l'amour qu'il lui portait, il murmura
je t'adore toi, merci pour ce merveilleux cadeau que tu nous as fait
puis il referma la porte doucement, et se dirigea vers la grande pièce