En arrivant

Totoriflette sourit au propos de Bettym, et lui repondit sur un ton paraissant assez gai

Bonjour Bettym, puis se raclant la gorge il ajouta, je suis le client de cette nuit, dans la chambre Marie de Berry

Il vit le regard de Bettym changé, mais la suivi pour prendre le petit déjeuner, puis s'approchant d'elle, il lui dit su un ton un peu mal à l'aise

N'ayant plus de maison actuellement, et certaines personnes ne supportant plus que je dorme dehors, je vais m'installer ici plusieurs jours, si vous le voulez bien

Bettym eu l'air d'acquisser de la tête, et tel une tornade prépara la salle pour le déjeuner

Vénussia arriva esoufflée et en pleur à l'auberge
y a quelqu'un vite!!! répondez moi betty parrain !!

Etant dans un fauteuil dans la pièce à coté, Totoriflette entendit la voie de sa filleule, une voie paniquée avait il eut l'impression. Il se leva précipitemment, et alla la retrouver

En la voyant, il vit des larmes sur son visage, et sa respiration rapide

Que se passe t'il Venussia ?

Il l'a prit par les épaules, et la regarda, dis moi, dis moi vite c'est Ange , c'est ça ? L'inquiètude le gagnait

parrain ... ho c'est....non c'est.....
venus tomba dans les bras de son parrain

c'est...Mo Modile ..la bas...
Toto devint tout blanc elle devait arriver a lui dire

elle est a l'arbre ....viens viens
Venus prit son parrain par la main et se remit a courrir

Totoriflette écouta Venussia, quoi comment quoi Modile, quel arbre que me dits tu ?

Puis Venussai lui prit la main et l'entraina à la suivre

Ellana descendit de son cheval et s'avança avec élégance vers la demeur. Elle se fit discrète et déposa l'enfant, enroulé dans une couverture devant la porte ainsi que la tête de Dijack ...
Le mot que Langue avait mis avec était illisible à cause du sang et de la pluie.. Elle en griffona un, imitant parfaitement son écriture.

Citation :

Mon cher ami Toto,
Je t'avais promis de te ramener tes enfants ainsi que la tête de ce Dijack... Voici Cristofle et la tête mais je n'ai pas retrouvé Léonie ... Je suis désolé.
C'est dans l'espérance de te revoir et que tu me pardonnes que je te laisse cette dernière missive.

Sincère amitié

Langue

Elle ne savait pas si Langue savait où se trouvait Léonie ou si il l'avait retrouvé donc elle mit qu'il ne savait pas où elle se trouvait ...
Elle déposa la lettre.

Elle décida que cette nuit elle dormirait à la belle étoile et qu'ensuite elle louerait une chambre ici dans cette auberge ..

Revenant de la taverne pour venir prendre son mantel, car la soirée était assez fraîche et humide, Totoriflette arriva à l’auberge de Bettym. Il vit alors une couverture au sol d’une forme bizarre et à côté une autre chose.

En approchant un peu plus, il eut un mouvement de recul, il vit une tête, juste une tête sans corps posée à même le sol, il ne savait ce que cela voulait dire. Puis, après avoir respiré profondément, et reprit ses esprits, il se dit

Il me faut trouver de l’aide, on ne peut laisser cela, je dois appeler la police

Puis commençant à prendre le chemin du village, il entendit des pleurs, il regarda autour de lui, et se rendit compte que cela venait de l’endroit ou se trouvait la tête. Il ouvrit grands les yeux, se disant

Toto il te faut arrêter de boire, une tête seule ne peut pleurer

Puis à nouveau les pleurs retentirent, il s’approcha à nouveau cela provenait de la couverture, et vit bouger et pleurer. Il se baissa alors, et vit un enfant enroulé dans la couverture, puis ses yeux furent attirés par un morceau de parchemin, il le prit dans ses mains, en fit lecture tout en regardant l’enfant.

Son visage s’illuminât alors, il prit alors l’enfant dans ces bras, le serrant contre lui, et l’embrassant sur le front,

Bonjour pour petit amour

Il était heureux, il avait retrouvé grâce à son ami son fils, malgré qu’il ressentait du chagrin pour sa fille pour laquelle il ne savait ce qui était arrivé. Il souriat à son fils et repartit au village pour annoncer cette nouvelle

Marty et sa marraine, devant l'auberge, se mirent à chercher une tête !

Marty se mit alors à 4 pattes sur le sol, et chercha un peu partout...

Finalement, il trouva quelques cheveux ensanglantés qui le conduisirent jusqu'à un fourré, longeant l'auberge.

Je crois que je l'ai trouvé lança-t-il à Bettym. Je crois aussi que j'ai la nausée...

Bettym entra chez elle et ressortit presque aussitôt avec un vieux linge crasseux qu'elle tendit à son filleul.

Marty enveloppa alors la tête de cet inconnu dans ce bout de tissu.

Ellana entendit arriver la femme avant qu'elle n'entre.
Ellana vit sa surprise de la voir ici même et ne pu retenir un sourire.

Elle fit mine un instant de ne pas l'avoir entendue puis lui dit d'une voie pleine de mystère et de charme

- Et bien bonjour Bettym. Saches que le temps n'a pas de prise sur moi.

Elle attendit un peu avant de lui dire la raison de sa visite meme si une sotte s'en serait douté ..

- J'aimerais avoir une chambre et un repas chaud chaque soir si possible. Qu'avez-vous à me proposer comme chambres?

Loup avait roder toute la nuit et avait fini par se perdre. Il était si petit et si jeune que même les chiens errants l'effrayaient. Il avait quitté la maison de Sandrine la veille, refusant qu'elle l'enferme dans la grange, refusant d'être traité comme un vulguaire toutou.

Il finit par arriver devant une maison, il allait surement mourir là, sa réincarnation n'aura pas duré bien longtemps.

Qu'elle idée Aristote de m'avoir donner une seconde vie sous cette forme canine !

- Sandrine pensa-t-il ma soeur bien aimée je t'ai revu au moins une fois, comme je t'aime !

Il gémit un peu, mais n'en avait même plus la force. Il se coucha sur le paillasson, et s'endormit. Il avait froid, il avait faim, il avait peur...

Bettym revenait de sa ronde quand elle aperçut, sur le paillasson une boule de poils. Elle s'approcha doucement et se rendit compte que c'était un louveteau. Elle voulut le caresser mais préféra retenir cet envie...

On ne sait jamais, pensa-t-elle, c'est un animal sauvage quand même !

Elle regarda aux alentours en espérant que sa mère ne vienne pas lui montrer que c'était sa progéniture. Voyant que l'animal commençait à bouger, elle se recula un peu. Il se réveilla et se tapit contre la marche montrant ses petits crocs. Il était encore plus effrayé qu'elle. Elle tendit sa main doucement et pria Aristote que la peur qui habitait le canidé ne l'incitait pas à la mordre.

N'aie pas peur, chuchota-t-elle, je ne te veux aucun mal. Le Louveteau dressa l'oreille. Qu'est-ce que tu fais ici ?

Alors qu'elle essayait d'apprivoiser l'animal, Bettym se souvint d'une conversation avec Dame Sandrine.

Mais... mais... tu dois être le Petit Loup de Sandrine ! Allez, viens, je vais te ramener chez toi ! Mais avant, je vais aller chercher de quoi te nourrir... tu ne bouges pas !

Bettym entra dans l'auberge et revint immédiatement avec quelques boulettes de viande qu'elle avait dans le garde-manger. Le louveteau, à sa grande surprise, était toujours là. Alors, elle eut l'idée, d'apater l'animal jusqu'à la maison de Sandrine en lui donnant de temps en temps un morceau de viande.

Loup fut réveillé par une voix de femme...

- Ha fiche le camp, je déteste les femmes, elles ont causé ma perte, surtout la dernière, j'ai failli l'épouser, elle m'a trahi !!!

Il lui montra les dents, et se serra contre les marches pour ne pas qu'elle le touche. Elle lui parlait doucement, et ne faisait aucun geste brusque il apprécia. Son ventre criait famine, il tremblait sur ses pattes tant il avait faim et était affaibli...

Elle entra dans la maison, il resta sur ses gardes ! Il avait senti la peur en elle, une odeur forte détectable entre toutes. Une odeur qui le rendait fou, il claqua la machoire, il avait envie de mordre. Comme c'est bizarre, cet instinct sauvage qu'il ressentait malgré sa nature humaine !

Elle ressortit, il en fut étonné. Sa peur avait disparu, il se sentit plus calme, mais soudain il renifla dans sa direction. Hummm son estomac se mit aussitôt à gronder. Il ne savait pas ce qu'elle avait dans les mains mais il avait envie d'y gouter. Il se leva et la regarda en gémissant.

Elle se pencha et déposa une boulette au sol. Il s'approcha l'échine courbée, mais s'arrêta bien avant. Elle était trop près de lui, il ne voulait pas de son contact. Il se coucha et la vit reculer en le fixant.

Une fois éloignée, il s'avanca vers la viande la renifla. Doucement il mangea et fut étonné du gout. Arff me voilà obligé de mendier mes repas, dépendant parce que trop petit, il enrageait.

Elle partait sur le chemin et déposait une autre boulette. En gardant ses distances il la suivit, et comprit elle le ramenait chez sa soeur. Il en fut mortifié !