Ma boulangerie

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Ma boulangerie

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Mon four

Mon pain

Nombre de messages : 713 Age : 42 Date d'inscription : 10/12/2006

Modile regardait tous les sillons creusés dans le pain de Totoriflette et se mit doucement à sourire

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Totoriflette pretrissait son pain sous le regard taquin de son amour. Il savait ce à quoi elle pensait, lui même pensait pareil. Mais l"heure était à faire le pain ...

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Dommage pensait elle

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La pate est enfin prète, il ne restait plus qu'à la mettre au four, et enfin il pourrait retourner à d'autres occupations Laughing

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Avant de se rendre a son travail, modile décida de passer par la boulangerie qu'elle aimait tant, elle l'épia par la porte, osant à peine respirer pour qu'il ne la voit point. Le voyant ainsi s'activer, une vague de chaleur, vint la faire chavirer.

Non, point, pensa t-elle Tu dois y aller maintenat, sinon, tu seras en retard.

Puis tout aussi doucement ,elle lui souffla mille baisers, se retourna , puis se dirigea vers la sortie

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Totoriflette avait passé sa matinée à pétrir son pain, il avait ressentit la présence de son amour, mais le l'avait point vue, bizarre. Il profita de sa pause en attendant que la pâte monte, pour lui écrire, un petit mot.
Je t'aime Modile

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Un grand malheur arriva en ce jour du 13 décembre 1454, alors que Totoriflette allumait le four pour y faire cuire son pain, un grand feu se déclara ravageant sa boulangerie. Il fut un instant desemparé, mais réfléchit et se dit, j'ai mon amour, ma mère, mes amis, le reste n'est que matériel. L'université attendra

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Modile qui avait vue l'ampleur des dégats, fut étonnée de voir l'avancement de la construction de la nouvelle boulangerie.
Namour sera content se dit elle les travaux avancent bien.

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Noël arrivait a grand pas, et Totoriflette se dit qu'il allait créer une nouvelle recette, un gateau pour Noël. Il regarda ce dont il disposait, farine, oeuf, des épices telles que cardamome, safran, cannelle, et ajouta du miel, il avait aussi du lait, il s'essaya à une recette. Il mélangea tout les ingredients dans un pot, versa la pâte ainsi obtenue dans un moule et le mit au four.

Il attendit et il vit la pâte monter, et sa croute noircir sur le dessus, il pensa que c'était cuit, il sortit du four le pain, le laissa refroidir, et le gouta. Cela était suprenant, mais assez agréable, il se dit qu'il la ferait gouter à son amour avant d'en produire plus, en se disant comment vais-je l'appeler, et puis l'idée lui vient, et il dit tout haut.

Pains aux épices, puisqu'il était composé de différentes épices

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De retour de Bourbon Totoriflette se mit à la tache, il lui fallait remplir son étal qui était assez vide. Les fêtes approchaient, et son pain aux épices se vendait assez bien dans la taverne. Alors il se dit

Au boulot

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En se rendant chez Petitjean, Modile passa devant la boulangerie, entrant à pas de loup, juste pour le voir encore un peu . Malgrés toutes les épreuves qu'il avait enduré, il avait gardé toute sa beauté intérieure qui le faisait rayonner. Elle se fit violence pour ne point aller l'embrasser, estimant qu'il était fort occupé, puis dans un sourire lui souffla un baiser , lui dit interieurement," comme je t'aime Namour", et sans faire plus de bruit sortit doucement retrouver l'animation de la rue.

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Totoriflette passa sa journée à faire du pain, il n'avait pas vu son amour, et elle lui manquait terriblement. En plus il avait regardé ses stocks, et il n'avait plus de bois. Il lui faudrait faire vite pour partir à Montpensier, en plus il irait seul, Modile étant encore trop fatigué.

Puis au bout d'un moment lassé de faire du pain, il se décida à aller en ville.

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Cela faisait bien longtemps que Modile n'était venu epier Totoriflette dans sa boulangerie. Il est vrai aussi, qu'en le voyant dessiner les sillons sur son pain, elle ne pouvait rester longtemps sereine.

Elle vint cependant le voir aujourd'hui, et tout en souriant le regarda faire avec tant d'amour le pain pour les villageois.

Il avait le visage entier recouvert de farine, ce qui lui faisait ressortir encore plus ses si beaux yeux bleus. Son grand torchon lui enserrait la taille et l'on ne voyait plus que ses chausses dépasser. Sous l'effort qu'il faisait à petrir sa pâte, ses bras se gonflaient de puissance.

Si fort et si doux pensa t-elle

Elle avait envie d'aller l'embrasser, le toucher, l'aimer, mais il etait si occupé, qu'elle se raisonna, même si son ètre entier n'attendait que cela.
Elle repartit aussi furtivement qu'elle était entrée, un sourire encore plus flagrant se dessinant sur ses lèvres, elle esperait que la soirée viendrait vite afin qu'ils puissent se retrouver.
Il lui fallait a présent se rendre sur le marché pour Langue . A cette pensée , elle s'atrista, il n'allait toujours pas mieu et cela la contrariait énormément.

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Arrivé à la boulangerie, Totoriflette perça quelque sacs de farine et les mélangea avec de l'eau, il essaya de faire une belle pate. Mais rien n'y faisait, soit elle était trop liquide, alors il rajoutait de la farine, soit elle faisait des grumeaux. Il s'ennerva plusieurs fois, jetant le tout, puis recommança, mais il n'y avait rien à faire, il se dit que ce n'était point son jour.

Il mit tout de même en marche son four à bois, car il avait froid très froid, puir il prit son tabouret, et s'assit devant le four, laissant divaguer son esprit.

Invité

Cofe arriva a la boulangerie commanda un pain et déclara qu'il allait surment passer chez mobile et totoriflette un de ses jours pour leur rendre visite ...