Au pied de l'arbre

Au pied le l'arbre se trouve une pierre gravée simplement, sur celle pierre on peut lire ceci :

Citation :

TANT QUE CET ARBRE VIVRA,MOULINS PERENNISERA.

Babeth n'avait pas encore osée revenir voir le bel arbre qui allait représenter l'avenir du village
En ce dimanche il y a du monde dans le village je vais enfin pouvoir passer un peut de temps ici
Babeth s'intalla dans l'herbe en regardant ce joli feuillage qui bougeait avec le petit vent qui passait dans ses branchages
qu'il est petit et fragile il deviendra beau et fort dans bien des années; Se sont nos enfants qui viendront s'y protéger du soleil .il me tard temps que bébé arrive et qu'avec son papa nous puissions venir nous reposer ici et jouer avec notre petit ange
Babeth était reveuse et un peut triste son mari lui manquai énormement.elle resta encore un petit moment là à rêver
Allez le travail m'attend je reviendrais plus tard on est si bien ici elle reprit sa route

Il y avait bien longtemps que babeth n'était pas venu se promener pres de l'arbre de mauvais souvenir surement mais elle avait besoin d'un peut de solitude et se dit que là elle pourrait refléchir tranquillement ,Maxilius dans les bras elle s'installa sur le banc pres de l'arbre
Babeth était inquiette elle n'avait plus de nouvelles de son mari les larmes lui montèrent aux yeux elle avait besoin de voir son mari et ne sevait ou il était passé Mon poussin je sais pas ou est passé ton papa jespère qu'il ne lui est rien arrivé Maxilius faisait de grands sourires à sa maman et il gasouillait comme si il voulait lui parler
Tu changes tellement vite mon poussin heureusement que tu es là
Babeth fit pleins de petits bisous à son bébé continuant à penser à son mari
après un long moment Babeth se dit qu'il était temps de rentrer coucher son fils ,elle repartie chez elle avec le secret espoir de voir son tendre amour à la maison

Bob remplit de tristesse, s'approcha de l'arbre...

Pouah...
Je sais pas ce qui m'arrive, je suis triste...
J'ai l'impression qu'un bout de moi est mort...

Mais qu'est ce que je fais ? Je parle tout seul !

Le gros homme regarda à droite, à gauche, dérrière et devant...

[Ouf, il y a personne...] pensa-t'il.

[Je n'imagine même pas les moqueries des deux autres brigands]

Il tira une grimace à ses pensées. Puis il s'approcha de l'arbre, et le toucha.

[Je me sens moins triste près de cet arbre.]

Il esquissa un sourire, puis il s'assit sur le banc posé à proximité, plongé dans ses pensées...

Hilda s'approcha à pas de loups du banc où se trouvait assis Bob.
[J'va l'surprendre ça lui f'ra une bonne blague] se dit elle.... Mais quand elle fut tout prés de lui, prête à lui bondir dessus, elle s'aperçut qu'il avait l'air bien triste.

Elle lui passa alors une main quelque peu lourde sur l'épaule ce qui le fit sursauter.
Ben qu'est ce qui t'arrive donc à reluquer c't'arbre avec c'te tête là? On dirait que le roi des brigands est morts sous tes yeux tellement t'as l'air triste vieux Bob!
Elle vint s'asssoir prés de lui et lui mis un coup d'épaule comme pour lui redonner le moral... Elle lui sourit assez bêtement mais s'apperçut que ça n'avait pas grand effet.

Alors Hilda resta là prés de Bob sur le banc et regarda l'arbre en sa compagnie tout en jouant avec sa vieille dague. Elle avait beau regarder l'arbre sous tous les angles elle ne trouvait pas ce que Bob lui trouvait...

Laisse moi, vieille sorcière !
J'ai envie d'être seule, ne me gonfle pas, je suis pas d'humeur !

Il attrapa la dague des mains d'Hilda.

Et arrête de jouer avec ça, tu va te couper !

Hilda le regarda bizarrement.

Bob leva un sourcil à sa grimace.

[Qu'est-ce qu'elle fait cette folle ?]

Il mit sa tête entre ses mains, plongé dans ses pensées. Il comprit un instant plus tard.

Quoi? Arrête de me regarder comme ça! J'ai le droit de ne plus être le grand benet qui vous suit partout! J'ai réfléchi, et je réfléchis encore, mais ...

Conscient d'être en train d'en dire trop, il se tut.

A ces mots Hilda fit une chose rare et exceptionnelle... Elle prit un air trés sérieux!

Oh je vois bien que tu réfléchis Bob... Et que tu changes aussi... T'es plus pareil mon gar.
et puis aprés? C'pa bien grave..j'taime bien mêm si t'es pu benet...


Hilda rengea sa dague comme une enfant qui a peur de se faire gronder et sourit d'un de ses ares sourirs sincères à Bob.
Elle alla ensuite mettre un coup de pied dans l'arbre de moulns et arracha un bout de son écorce.

Roo et t'as quoi avec ce truc!? L'est moche c't'arbre!

A ces mots Hilda avait déjà rerouvé son sourire ironique... il semblait qu'elle trouvait un grand amusemant à mettre des coups de pied dans cet arbre.

Il se leva tout à coup :

Touche pas à cet arbre ! Sale bique !

Il se rapprocha d'Hilda et la poussa sur le banc, pour qu'elle ne puisse plus atteindre l'arbre.

Cet arbre me réconforte donc tu n'y touches pas !

Il eut un moment d'hésitation, puis il ajoutat :

Et me demande pas pourquoi !

Après quelques minutes de réflexion, il releva la tête :

Allez viens ! Faut que j'aille à la fontaine !

Hilda émit un gémissement de négation mais il lui tenait tellement fermement le poignet qu'elle compris qu'elle n'aurait pas le choix.

Il partirent, tous les deux, Bob tenant Hilda.

Modile sortait de la taverne, completement ivre qu'elle était, elle y avait croisé un bel inconnu, mais ce n'est pas lui qu'elle voulait voir aussi en titubant elle cria à tue tête :

MIN !! HOU HOU!! MIN !! T'ES OU ?

De toute la soirée, pas un ne lui avait dit où le trouver; elle finit par s'éfondrer là, au pied de l'arbre, toute souriante , puis s'endormit ainsi.

En cet belle après-midi, Langue décida d'aller piquer un somme. Il alla se placer en dessous du grand arbre et se mit à remuer ses pensées. PLus rien n'allait dans sa vie. Aussi dit, il décida de dormir ce qui lui ferait du bien. Il s'endormit et se dit que la au moins il était en paix.

- Zzzz***

Voilà bien longtemps qu'Irmine n'était pas revenue au pied de cet arbre...

Le lieu était désert en cette fin de mois de février et elle s'avança silencieusement dans l'herbe fraiche puis resta immobile un long moment à l'admirer.

De nombreux souvenirs revinrent en mémoire à Irmine à la vue de cet arbre... Elle se rappela ce jour d'été où Mr Verryan et elle plantèrent cet arbre pour fêter la contruction du village de Moulins.
Elle se rappela tous les espoirs qu'elle foudait alors et elle se dit qu'elle n'avait pas espéré en vain.

Dans six jours... Murmura t elle... Puis Irmine sourit à l'idée de revenir parmis les siens enfin aprés ces deux mois de travail au conseil ducal.
Rien ne pouvait la rendre plus heureuse que cette idée et cette arbre était le symbole de son bonheur, le symbole de Moulins.
Irmine pensa à Lilou, à Toto, à Choco et à tous les autres... tous ceux qui lui manquaient tant.

Elle leva les yeux au ciel comme pour adresser un regard à Mr Verryan qui, elle voulait le croire, veillait sur le village auprés d'Aristote puis repris le chemin du chateau de Bourbon Auvergne pour retourner à ses fonctions.

La nuit était tombée Venussia avait besoin de sortir Lika n'arrêtait pas de reclamer sa promenade
Se promenant dans le village Vénussia arriva devant un bel arbre avec une jolie phrase en dessous,elle s'assit sur le banc juste à coté repensant a ces quelques semaines de vie Moulinoise, Elle y était venue juste pour quelque jours mais par amour elle était encorelà
Venussia resta un moment pret de cet arbre à refléchir sur son futur elle devait prendre une décision, la bonne décision
Venussia avait vu son parrain passé elle etait allé le rejoindre essayé de parler avec lui ,elle fini par reussir a la faire chez lui en espérant de tout coeur que toute cette petite famille se retrouve pour toujours ,puie elle vint se r'assoire sur son banc
et moi dans tout ça je fais quoi ?on fait quoi se dit elle en caressant son ventre mon pauvre Bébé quel vie tu vas avoir ? je me le demande bien les larmes se mirent a couler sans même qu'elle s'en rende compte il fallait qu'elle quitte ce villlage mais pour aller ou
le regard vers les étoiles elle chercha la sienne esperant trouver la réponse

Vinussia commençait a avoir froid elle reprit le chemein de la maison apres avoir sifflé Lika allez viens toi a la maison