le nid de pény

Cela faisait trois jours que Pény hébergeait Yann chez elle, il n’avait pas l’habitude de dormir à l’intérieur, mais avec la fatigue de la journée, les soirées en taverne bien arrosée, il s’était adapté à dormir près de la cheminée. Il se réveillait plusieurs fois dans la nuit pour charger l’âtre de façon à ce que son ôte n’ai point froid.

Il s’étaient retrouvé complice au fur et à mesure de leur rencontres en taverne, Yann avait peur des femmes, il craignait la gente féminine, n’avait pas vraiment confiance en elle. Mais il essayait tout doucement de se soigner. Les vrais sentiments il était persuadé qu’il n’en ressentirait jamais, aussi, avec Pény il avait été clair. Il ne formerait pas de couple, ils seraient amis, amis proches, complices, mais il n’y aurait de vie commune entre eux.

Il avait aussi longuement discuté sur l’attitude de Pény envers les autres Moulinois, la belle avait tendance à donner son avis sur tout, souvent en voulant bien faire, mais souvent, également, maladroitement. Yann avait l’espoir de la tempérer un peu. Bien sur qu’elle avait une grande expérience de la vie et du royaume, Yann respectait cela, mais il la voulait plus tempéré, moins cassante.

Ce soir là ils avaient discuté de beaucoup de choses, puis Pény était monté se coucher. Lui était resté près de son feu, préparant ses bagages pour prendre la route. Il ne serait absent longtemps, mais il faisait parti de ce duché maintenant et se devait de le défendre. Pour mieux être entendu par les différents partis politique du Duché, il voulait montrer que lui aussi, malgré son jeune âge, participait avec tout ses amis à la reconquête du château de Clermont.

La nuit était douce, il se décida à rejoindre le groupe qui devait partir au crépuscule, un voyage de nuit pour rejoindre la route de Clermont.

Il regarda l’âtre, le rechargea une dernière fois, puis il prit un parchemin et de sa plume inscrivit.

Citation :

Pény,

Je suis sur le départ, je ne pense être absent longtemps, profites de mon absence pour réfléchir à nos discussions.

Ton sourire et ta bonne humeur vont me manquer.

Je t’embrasse

Yann

Il posa le parchemin prêt du pot de confiture partagé la veille, où il restait un petit fond, elle en profiterait le lendemain matin pour son petit déjeuner, puis il quitta la maison sans bruits

Trainant ses bottes , son épée encore vissée a la main , la brunette avançais lamentablement vers la route qui la conduirais enfin chez elle . Ses muscles endoloris , sa lèvres inférieur tuméfiée , tous son corps la faisait souffrir et elle ne rêvais que de son lit ...

Droit devant elle une silouhette se dessinais peu a peu avançant dans sa direction . Plissant les yeux afin de mieux distinguer qui cela pouvait il être , ses yeux devinrent larmoyant ... elle était épuisée et le moindre éffort lui coutais . Mais son coeur se mis a battre plus rapidement quand elle reconnu Yann ! Elle stoppa sa progression et attendit qu il arrive a sa hauteur .

Citation :

Pény, Pényyyyy

Que c’est il passé ?

Arfff te voila enfin ... je t est cherché en vain ... je .. je suis contente de te voir .

La mairie a été attaquée et , nous avons du nous battre tous ensemble pour métriser tous ces malfrats .

Elle le regardais et voulu lui sourire , mais sa lèvres gonflée lui rappela qu il valais mieux éviter .

Je suis fatiguée et je crois que je vais rentrer , j ai vraiment besoin de m allonger .

Ses jambes avaient du mal a la porter et elle grelotais ....