La chambrette

En empreintant une echelle abrupte, comme pour monter dans une grange, on arrive à l'étage où se trouve la chambrette de Damoiselle Irmine.



C'est sur un matelas de paille enveloppé de toile rouge qu'elle s'endort chaque nuit en rêvant de son cher Juano dans son bonnet de nuit bleu ou des derniers verres bus à la taverne avec son compagnon de boulasserie Choco.
Sous un genre de coussin.... irmine garde roujours de quoi se defendre :
Par ces temps tumultueux il n'est pas rassurant pour une femme de vivre seule et jamais cette masse d'arme n'est trés loin d'Irmine dans ses longues nuits de solitude.


Ses bien les plus précieux... c'est à dire quelques habits de toile ou de laine et quelques écu cachés dans un vieux bas s'entassent dans un vieux coffre qui constitue son seul mobilier.

En rantrant de la taverne Irmine trouva Juano qui dormait profondément (et ronflait trés trés fort) dans son lit... elle le regarda dormir un instant en titubant....
Elle souriait...
[je vais épouser l'homme le plus groovy de moulins] pensa t elle

Puis s'approchant de la fenêtre elle vit choco s'étendre sous son chêne et s'endormir trés vite.
Elle prit instinctivement la couverture qu'elle avait reposée sur le bord de sa fenêtre et redescendi l'échelle à grand peine (la bière avait coulé à flot à la taverne).

Un moment plus tard elle remonta et vint se coucher prés de Juano.

Juano, sentit Irmine se glisser difficilement dans le lit.
Sa chérie était là, il lui fit un calin et recommenca à ronfler puisque tout allait bien.

Juano

Irmine monta dans sa chambre et coucha son bébé dans son petit lit en bois...

Elle chantonnait en dépliant un couverture....
Laalalalla uhmm quel froid ce soir... murmura t elle en se parlant à soit même.

Elle remit ses cheveux en place et retrouva encore accroché à une mèche de cheveux une touffe de poils roux provenant de l'écureuil que Mess lui avait lancé sur la tête.
Elle se rappela comme elle avait eu du mal à se débarrasser de cette petite bête.... Elle crut bien qu'elle le garderait accroché à son dos pour le reste de sa vit.

Puis son regard se porta sur un manteau de Choco accroché à une chaise...
Elle se demanda ce qu'il faisait en ce moment et par ce froid, elle regarda alors à la fenêtre pour voir quel temps il faisait dehors ...

C'est alors que


Le visage narquois de l'écureuil de Mess apparu à la fenetre. la petie bête sauta depuis l'arbre jusque sur le bord de la fenêtre d'irmine qui commença à se demander ce que l'animal lui voulait.

Elle ferma les rideau en espérant que l'écureuil serait parti le lendemain matin. Mais en son fort intéreiur elle se dit qu'il valait mieux se méfier ce ce petit animal...

Le Géant fit son apparition à la fenêtre de la chambre. Il avait une oreille grossièrement bandée et une envie de revanche.

Il cassa le carreau après s'être assuré qu'Irmine était en ville et ouvrit la fenêtre.

Il s'arrêtat quelques instante pour regarder ce qu'il pourrait voler.

Le gourdin lui sauta aux yeux et le prit aussitôt. Le reste n'avait pas grande valeur. A vrai dire, il pensait qu'une mairesse devait être riche, car elle devait bien voler une partie de l'argent de la mairie...

Son coup allait donc être sans vraiment de bénéfice, il s'assit sur le lit, déçu. Puis une idée lui vint. Cette mairesse deviait bien avoir une fortune caché, si elle l'avait volé, elle ne pouvait pas trop le faire remarquer. Il vida son armoire, jetant les vêtements sur le lit, puis il renversa le sommier. Il trouva juste une petite somme d'argent.

Il commença à les compter quand survînt un événement.

[Toute participation au Rp est la bienvenue !]

A ce bruit, Bob se raidit laissant tomber les pieces à terre. Puis il pensa à faible voix :

Punaise ! Je croyais qu'ils étaient au village...

Il ramassa l'argent, rangeat le gourdin et sortit sa magnifique épée.

Je fonce dans le tas ou je sors discrètement ?

Il réfléchit quelques instants, et la question se tranforma rapidement : "Que ferais le nain barbu ?"

Après encore, quelques secondes de réflexion, il ouvrit la fenêtre et passa de l'autre coté.

Irmine arriva enfin en haut de l'escalier... Elle sentait qu'il y avait quelque chose d'anormal.

Alors qu'elle était censée voir un petit écureuil nerveux sauter de mur en mur dans la chambre c'est la large silouhette du brigand qui l'avait déjà attaquée qu'elle apperçut...

Irmine pâlit en croisant son regard... elle vulu crier mais aucun son ne sorti de sa voix tellement elle fut choquée par cette vision.

Aprés un moment de peur irmine reprit ses esprits et elle enraga de voir l'homme faire le pitre sur le rebord de sa fenetre et se moquer d'elle...

Elle se précipita à la fenêtre alors qu'il déscendait. Elle serrait les points, enragée de ne pouvoir l'arrêter.

Comment osez vous!!!?? Lui cria t elle d'un air indigné... Tout en jetant sur le bougre ce qu'elle trouva à portée de main : un petit coffret en bois qui lui frola une épaule, une chaussure qui lui atteri sur le sommet du crane mais sembla mêmepas lui provoquer une petite bouleur, et enfin un chausse pied qui vient arracher le pensement qu'il avait à l'oreille.

Tu ne l'emportera pas au paradis... Mumurmar t elle, tremblente et choquée.
Elle appela Choco, au bord des larmes.

En entrant dans la chambre il fu inquiet de trouver son amour tremblante et les larmes aux yeux il s'empressa de la prendre dans ses bras pour l'apaiser

Qui y a t'il mon ange c'est l'ecureuil qui te met dans cet état ?

dit il sur un ton ironique car il savait bien qu'il y avais un probléme mais ainsi il souhaitait fair descendre la tension de son amour

Dit moi se qui c'est passé.

Irmine eut un léger sourire quand Choco lui parla de l'écureuil... mais elle éclata en sanglots de plus belle et se laissa tomber dans les bras protecteurs de Choco.

Il est venu ici... chez nous... Elle n'arrivait pas à parler tellement les sanglots étouffaient sa voix.

Ce brigand, ce monstrueux brigand... Elle releva la tête vers Choco, les yeux plein de larmes. Je ne voulais pas t'inquiéter... ne pas t'en parler...mais j'ai eu si peur chez Mr Verryan...

Irmine se blottit dans les bras de Choco, le dernier lieu où elle se sentait encore en sécurité.